FAUTE GRAVE : VULGARITÉ – OUI (81-14)

« Attendu que par des motifs pertinents que la cour adopte, les premiers juges ont exactement retenu que les propos outranciers et irrespectueux rapportés par la nièce de M. K, patient hospitalisé au CHT et en présence de sa nièce et de deux autres femmes de sa parenté, était constitutif d’une faute justifiant le licenciement de Mme S, infirmière de longue date, ainsi qu’elle le rappelle elle-même ; Attendu que la salariée ne conteste pas le contenu de ces propos, à l’exception du tutoiement, qui ne modifie en rien le caractère cru des propos proférés, que le caractère médical allégué pour les […]

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