FAUTE GRAVE : VOL D’ESPÈCES – OUI (79-10)

« En imputant à M. L une faute lourde constituée par un manquement à ses responsabilités et un abus de confiance, la Société a suffisamment motivé la lettre de rupture qui contient des éléments matériellement vérifiables. Il est reproché à M. L d’avoir tenté de soustraire une somme de 35 000 F CFP remise en espèce par une cliente le 22 décembre 2006. Il résulte de l’attestation de cette cliente, Mme W, que cette somme a été versée par elle le 22 décembre et que M. L lui a remis un reçu daté du 21. Il est par ailleurs établi qu’entre cette […]

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