AUTORITÉ DE LA CHOSE JUGÉE AU PÉNAL (24-2)

« La Société M. soutient que, bien que la salariée ait bénéficié d’une décision de relaxe, le tribunal peut porter une appréciation sur les faits sur lesquels l’employeur s’est appuyé pour fonder le licenciement. La lettre de la Société en date du 16 décembre 1996 est ainsi libellée : « Les faits portés à notre connaissance par la procédure pénale et en particulier, les accusations circonstanciées portées contre vous par une de vos collègues de travail, constituent des motifs graves, de nature à me retirer la confiance nécessaire à la bonne exécution de votre contrat de travail. » Il ressort de ces quelques lignes […]

Pour consulter ce document, veuillez souscrire à une formule ou vous connecter

Devenir membre

Découvrez nos formules
souscrire

Déjà membre ?

Connexion

Déjà membre ?

Renouveler ma souscription
Renouveler

Sur le thème «Inspection - Contentieux»

Rechercher par thème

CAFAT

Chomage

Embauche - Contrats

Exécution du contrat

Formation

Inspection - Contentieux

Négociation collective

Représentation du personnel

Rupture du contrat

Salaire

Santé - Sécurité

Temps de travail - Suspension - Conflit